Le plaisir BDSM est l’une des pratiques sexuelles les plus convoitées par les couples recherchant le summum des sensations extrêmement fortes. Généralement pratiqué par les couples partageant les mêmes idéaux du sadomasochisme, le plaisir BDSM fonctionne sur des principes. Avant de vous y lancer, veuillez bien nous lire pour en savoir plus à ce sujet.
Le plaisir BDSM : une pratique basée masochiste
Si vous cliquez ici, vous obtiendrez tous les détails dont vous avez besoin au sujet du plaisir BDSM. Vous devez d’ores-et-déjà savoir que le sigle BDSM signifie « bondage et discipline, domination et soumission, sadisme et masochisme. Vous avez surement deviné par vous-même, que le plaisir BDSM ne fait pas dans le romantisme. Il s’agit d’une sorte de pratique sexuelle préalablement consentie par les partenaires. Il n’est point question d’espérer de la douceur entre partenaires. Le partenaire consentant et dominé doit se faire ligoter par celui qui le domine. S’il est vrai qu’il est souvent recommandé de ne pas aller aux excès avec les liens, ici, tout le principe repose dans la souffrance. Le plaisir est plus conséquent quand la douleur augmente.
Le plaisir BDSM : l’esclave ne dispose pas de son corps
En réalité, il s’agit d’une relation librement consentie faisant intervenir de façon illustrative un « maître » et un « esclave ». Supposez donc que le dominé est l’esclave et le dominant, le maître. Ce dernier a le libre cours de lui infliger des supplices plus ou moins modérés afin de se procurer du plaisir. Et ce, dans le sens exact du terme. Hormis le fait de lier les mains, pieds ou cou, le partenaire dominant peut aussi user d’autres outils pour apporter plus d’excitations à son esclave. La lanière, les menottes de chevilles et les pinces pour tétons sont des matériels parmi tant d’autres pour assouvir le plaisir de dominance du maître. En bref, dans une pratique sexuelle de type BDSM, le partenaire ne dispose pas de son corps. Le but est d’être le maître du jeu et de faire durer l’orgasme dans un contexte masochiste. Le dominé est alors soumis aux traitements du dominant. Toutefois, les partenaires doivent fixer des limites à ne pas franchir et peuvent intervertir les rôles.